Un très vieux cow-boy du cru m’a demandé si Nabokov
avait écrit Lolita « d’après sa propre expérience ».
Je lui ai répondu qu’un écrivain écrit toujours
d’après sa propre expérience,
mais qu’il s’agit le plus souvent
de l’expérience de l’esprit.
Jim Harrison, En marge.
J’ai aimé retrouver, dès le début de Balco Atlantico, Théodore Moracchini dont j’avais fait connaissance dans Un sol natal, l’une des nouvelles de votre premier livre publié, Variétés de la mort ; je précise « publié » car qui sait tout ce qu’un auteur écrit avant d’être publié ?