« Avec Lucie, les masques tombent les uns après les autres.
Et sous le dernier masque il n’y a pas de visage ».
Lucie d’enfer est un roman où le narrateur devenu écrivain, est hanté par le souvenir de Lucie, une amie de jeunesse, un amour d’adolescence, une passion singulière, disparue sans laisser d’adresse. Un hasard romanesque conduit le narrateur à retrouver Lucie lors d’un déplacement à Montréal, il doit y parler de Jean-Jacques Rousseau et de ses livres, et c’est dans une librairie que l’apparition a lieu – Ses yeux sont embués de nostalgie. Il y a ensuite l’Île de Skye, où s’est installée Lucie avec son nouvel amour, rencontré lors d’un stage de développement personnel que dispense la chamane. Elle vit dans un manoir hanté, avec ses chiens, les deux fils de son mari, et les photographies des ancêtres, le clan. A son tour le narrateur vient l’y retrouver, répondant à un appel à l’aide, pour déposer une caution servant à libérer Lucie, emprisonnée à la suite de l’étrange chute mortelle d’une falaise de son époux.