Quand l’auteur, depuis Bordeaux, Gênes, Dublin ou Nice, écrit ces textes, il a, à l’entrée de ce siècle, 55 à 57 ans : son corps, purement et simplement, « décline » – et quoi de plus logique, mais aussi de plus absurde, qu’un fleuriste qui se fane ?
« Mon corps toi qui déclines comme décline
l’Europe
toi qui perds de la valeur peu à peu
comme la production
d’acier et de charbon
par rapport à l’électronique