Pour le lecteur qui vous découvre avec « Elephant Island », que faut-il savoir de votre passé littéraire ?
Rien. Il ne faut rien savoir. J’écris depuis l’âge de sept ans. Mon passé est littéraire, mon présent aussi. Mon nom est une marque, un logo. Ceux qui aiment Elephant Island s’informeront sur ce qui existe d’autre dans la même marque, et se feront une idée.
Existe-t-il un auteur ou un roman dont vous puissiez dire qu’il vous a donné, si pas l’envie, du moins l’impulsion pour à votre tour vous exprimer par la plume ?
Certains auteurs et certains livres me confortent dans le bonheur des mots, Giono, Gaudé, Gascar, Jules Vallès (L’enfant), etc. Mais ce sont les pouvoirs magiques de la langue et des mots eux-mêmes qui m’ont emmené sur la terre des romans, dans le sillage de rencontres humaines, de l’invraisemblable humanité, des pages de destin déguisées en hasards.