Dissonances trace sa route. Non, la métaphore ne colle pas. Dissonances trace son chemin vicinal, sa voie – une voix – décalée et salutaire. En ces temps de rentrée littéraire et de prix déprimants, lire les étoiles, enfin les « superstars » de ce numéro 23, fait un bien fou. Au moral, à l’intelligence, aux zygomatiques aussi car on sourit, on rit, souvent.
Superstar, ça déménage. Imaginez seulement : il y a Johnny bien sûr, et Elvis, et Lou, Et Bob, et Mick, et James. Il y en a même pour les footeux, avec Marco, Alain, Sylvain. Vous pourrez vous amuser à refaire le chemin de Petit Poucet qu’on vient de vous suggérer. Et vous pourrez trouver d’autres cailloux à semer au long de cette piste aux étoiles.
Par chemin encore plus détourné, on a même la joie suprême – et l’immense honneur - de croiser François. Oui LE François, le premier des Français. Sous forme d’un rap en anaphores. « Moi président de la république, je préfère me faire me faire sucer au bord de l’eau ». Oh pardon. Le choix n’est pas des plus élégants. Difficile de faire plus convenable cependant.