Une rencontre insolite, merveilleuse de sens, entre le Pape François et la survivante de la Shoah.
François a désiré rencontrer chez elle celle qui depuis des décennies témoigne de la condition juive, dans les écoles, lors de conférences.
Edith, née en Hongrie, en 1931, a raconté dans "Le pain perdu" la tragédie que sa famille a connue.
Devenue Italienne et écrivaine, elle a épousé le poète Nelo Risi, frère de l'auteur du "Fanfaron".
D'emblée, une mystérieuse chimie unit ces deux êtres, poursuivis tous deux par le désir de paix.
Le Pape a apprécié "La lettre à Dieu" qui clôt "Le pain perdu". Et sa poésie. Le livre ainsi déroule quelques poèmes d'auteurs particulièrement appréciés par Edith : Attila Jozef, Miklós Radnóti, César Vallejo.
Les deux amis vont se rencontrer à plusieurs reprises et c'est l'occasion d'offrandes, de surprises, de partages. Et d'émotions, aussi.