Les nouveaux fanatiques se rallièrent sous l’étendard du fils de Marie
(Condorcet, Esq. tabl. hist., 1794)
Pour les étrangers, les fonctionnaires, les Israélites, les colons, les trafiquants, l’Arabe, moins considéré que ses moutons, est fait pour être écrasé. Le refouler dans le désert pour s’emparer de ce qu’on ne lui a pas encore pris, tel est le rêve. Les Français algériens, qui ont déclaré que le fanatisme rendait les Arabes incivilisables, s’obstinent à ne rien tenter pour les tirer de l’ignorance, si favorable à l’exploitation et à la domination
(Hubertine Auclert, Les femmes arabes en Algérie)