« Véritable arbre généalogique, ces portraits de champions ou d’anonymes, parfois oubliés, composent la grande famille du rugby qui circule de village en village, de club en club, de génération en génération depuis que le ballon ovale a atterri sur le sol français » (Marie Boizet).
« Il provoquait l’enthousiasme et justifiait cette affirmation de Montesquieu qu’on peut être amoureux de l’Amitié. Son frère et lui formaient un couple de princes raciniens qui drainait tous les cœurs avec soi » (Antoine Blondin, Guy, c’était Fanfan (sur Guy Boniface).
« Les prouesses de Roques, Quaglio, Lacaze “le papillon”, et Danos “le pianiste”, cultivaient mes terres en friche. La bravoure de Jean Barthe, que seuls les vainqueurs de l’Himalaya ou du cap Horn pouvaient égaler, devient pour moi la référence, le mètre étalon » (Daniel Herrero, Le combat des combats).