L’écume des voyages est une publication originale qui regroupe trois récits : Lisbonne, nuits intranquilles (poèmes) ; Vingt-trois moments de l’embouchure, des « clichés » écrits à Rabat dans les années 1980 et publiés en 1993 après « remuement de la langue », et surtout : Odeur d’encre, odeurs d’îles, un recueil de textes publié en 1991, peu connu du grand public ni des amateurs de littérature de voyage, et pourtant très littéraire et très voyageur.
« Plus on découvre de villes, de paysages, plus le mystère s’affine, et on parvient parfois à démêler quelques-unes de ses propres obsessions à mesure que chacune revêt le visage d’un lieu ».
Au fil d’une trentaine de chapitres, Vincent Jacq nous entraîne dans ses lieux, dans ses lectures, dans ses voyages, dans ses obsessions peut-être, en tous les cas dans une sorte d’abécédaire (mais sans ordre) de l’histoire des voyages, avec des thèmes variés.