L’Homme qui aimait les chiens, Leonardo Padura, traduit de l’espagnol (Cuba) par René Solis et Elena Zayas, Éditions Métailié, 2011 et 2013, 742 pp., 14 € (1ère publication en espagnol chez Tusquets Editores, Barcelone, 2009)
Une lecture est une aventure personnelle, sinon « à quoi bon ? »
Michel Host
« Il s’était battu pour créer un monde meilleur mais il n’avait réussi à semer autour de lui que la douleur, la mort et l’humiliation, quelle ironie du sort ! »
L. Padura
« Et les personnes, alors ? Est-ce que l’un d’eux a un jour pensé aux personnes ? Est-ce qu’on m’a demandé à moi, à Iván, si nous étions d’accord pour remettre à plus tard nos rêves, notre vie et tout le reste jusqu’à ce qu’ils partent en fumée… ? »
L. Padura