Ce texte fait partie d’un immense ensemble qui s’appellera Le Marcheur de Flammes (et dont l’architecture reprendra celle de la Bible).
Le babil ingénu des soyeux rossignols
le roulis chaleureux des modestes envols
et la mort qui m’appelle et la mort qui m’appelle
et mes élans crevés d’emblée se font la belle
un soleil matinal au chevet des planètes
une gloire azurée nimbant toutes les têtes
et la mort qui m’appelle et la mort qui m’appelle
et mon trèfle jauni se ramasse à la pelle