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Corps de poème au mauvais sang qui vire à l’encre
La mer partout la mer érodant à l’extrême
Sauf les yeux diamantins assidus aux percées
La brèche ici ailleurs déjà envisagée
Que l’attardé d’un front acquis aux déferlantes
Faisant place à celui ou cela qui s’en vient
Devienne en se défiant de trop pesants mélanges