« Resserre ton monde et regarde comme il s’étend
Un œil plein de ciel, un monde dans tes bras »
Nida Fazli
Voici un roman rafraîchissant, profond, drôle, d’une haute teneur en vitamines spirituelles, dans la trame duquel viennent très naturellement s’insérer des fragments de ghazal, la poésie indienne :
Ce que nous appelons le monde est un jouet magique :
Un tas de sable quand on l’a, une pièce d’or quand on le perd
Un roman qui propose sans avoir l’air un enseignement précieux, imprégné de sagesse hindoue et de philosophie bouddhiste, en équilibre sur le fil fragile entre dukkha, la tristesse, et ananda, la joie.