Le solœil était braque et la brume était rose
Malabar saliveux. Sous un ciel de pécrose
une junge Frau doigtait par le feuillu
quelques frisquas d’emphase avec un air crouillu.
Ad libitum l’infâme et les granfants d’abord
mêlaient par monts-et-veaux le deuil du tarbabord
ensuite aux cauchements du frisson fermoulu.
C’était un brocarnage au décours invoulu
d’où les blachats de la paléopolitique
semblaient sourdre de poudre en glimpsant l’écliptique.
La môme prophétesse enfifloutait ses yeux
d’un contrejour hagard sous dypnose épandieux.