Quand je jappe au jasmin de ta jupe qui court,
Courte et vive, et que gonfle ta hanche ondulante,
Hallucinante enfant, sais-tu que je m’invente
La douce vie d’un chien qui garderait ta cour ?
Quand je lape au jardin le nectar délicieux
Des larmes que ton cil a semées sur la sente
Au pistil de la rose, advient-il que tu sentes
Que de tous tes chagrins tout mon être est anxieux ?