Pour unité, l’étrange, qui fait basculer l’histoire, enracinée dans la vie tranquille des personnages. Ceux-ci vivent au kibboutz ou en ville, sont soldats ou civils, actifs ou retraités. Parfois, d’une histoire à l’autre, on les suit, ils se connaissent, se reconnaissent. Parfois, la succession vient de l’incongruité d’un détail qui échappe, ou qui achoppe.
D’une façon ou d’une autre, tout se dénoue, sans faire plus de bruit dans la vie d’autrui. Parfois, le dénouement est violent, mais l’histoire le banalise, se refermant sans créer plus de remous qu’un rond dans l’eau.