« C’est à Toulouse que j’ai appris le premier geste de tout Italien quand il se lèvre : regarder le ciel ».
Vers le Sud
« On apprend à regarder. On voyage alors en soi. On élabore une Italie céleste, personnelle, idéalisée par le supplément d’efficience sur notre âme qu’elle engendre au fur et à mesure de nos séjours sur ses terres, et qui se superpose à l’original ».
Milan
« Sa beauté, ondoyante comme le ciel et la lagune qui la portent, a le tremblement d’un mirage – celui de Byzance et de l’Orient défunts ».
Venise