Juan Marsé
Juan Marsé est écrivain (romans, nouvelles), traducteur, scénariste espagnol.
Né Juan Faneca Roca, orphelin de mère, il est adopté par le couple Marsé. À l'âge de treize ans, il travaille comme apprenti joaillier. Lors de son service militaire à Ceuta en 1955, il projette l'écriture de son premier roman, publié en 1961.
Entre 1960 et 1965, il travaille à Paris comme garçon de laboratoire à l'Institut Pasteur, et donne des cours d'espagnol à la fille du pianiste Robert Casadesus.
Últimas Tardes con Teresa (Térésa l'après-midi) reçoit le Prix Biblioteca Breve en 1965, et Marsé entre au Parti communiste espagnol.
De retour en Espagne, il écrit des scénarios pour le cinéma. Inspiré de son enfance pauvre dans les bas-fonds de Barcelone, Si te dicen que caí (Adieu la vie, adieu l'amour) est censuré en Espagne et ne peut sortir qu'au Mexique.
Il continue cependant de consacrer ses romans suivants à dépeindre Barcelone après la guerre d'Espagne, ce qui ne l'empêche pas de recevoir le prix Planeta en 1978, pour La Muchacha de las bragas de oro, adapté au cinéma par Vicente Aranda en 1980 (ce dernier tournera également Si te dicen que caí, et El Amante bilingüe-L'amant bilingue en 1992).
En 1997, il reçoit le Prix Juan Rulfo pour l'ensemble de son œuvre.
En 2004, Fernando Trueba adapte El Embrujo de Shangai (Les nuits de Shangaï,) au cinéma. (Source Babelio)
Né Juan Faneca Roca, orphelin de mère, il est adopté par le couple Marsé. À l'âge de treize ans, il travaille comme apprenti joaillier. Lors de son service militaire à Ceuta en 1955, il projette l'écriture de son premier roman, publié en 1961.
Entre 1960 et 1965, il travaille à Paris comme garçon de laboratoire à l'Institut Pasteur, et donne des cours d'espagnol à la fille du pianiste Robert Casadesus.
Últimas Tardes con Teresa (Térésa l'après-midi) reçoit le Prix Biblioteca Breve en 1965, et Marsé entre au Parti communiste espagnol.
De retour en Espagne, il écrit des scénarios pour le cinéma. Inspiré de son enfance pauvre dans les bas-fonds de Barcelone, Si te dicen que caí (Adieu la vie, adieu l'amour) est censuré en Espagne et ne peut sortir qu'au Mexique.
Il continue cependant de consacrer ses romans suivants à dépeindre Barcelone après la guerre d'Espagne, ce qui ne l'empêche pas de recevoir le prix Planeta en 1978, pour La Muchacha de las bragas de oro, adapté au cinéma par Vicente Aranda en 1980 (ce dernier tournera également Si te dicen que caí, et El Amante bilingüe-L'amant bilingue en 1992).
En 1997, il reçoit le Prix Juan Rulfo pour l'ensemble de son œuvre.
En 2004, Fernando Trueba adapte El Embrujo de Shangai (Les nuits de Shangaï,) au cinéma. (Source Babelio)